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Moi je suis le bon pasteur, le vrai berger, qui donne sa vie pour ses brebis…

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Dieu nous rassemble en l’Eglise pour écouter sa Parole. Elle nous appelle, en cette Journée mondiale des vocations, à nous émerveiller de son amour. Ouvrons nos cœurs et nos oreilles. Que l'appel de l’Esprit raisonne dans nos cœurs ; que chacun trouver sa place dans l’Eglise, en vue de constituer ensemble les frères du Christ, prêtre, prophète et roi.



LITURGIE DE LA PAROLE

PREMIÈRE LECTURE

Lecture du livre des Actes des Apôtres

En ces jours-là,

Pierre, rempli de l’Esprit Saint, déclara :

« Chefs du peuple et anciens, nous sommes interrogés aujourd’hui pour avoir fait du bien à un infirme, et l’on nous demande comment cet homme a été sauvé.

Sachez-le donc, vous tous, ainsi que tout le peuple d’Israël : c’est par le nom de Jésus le Nazaréen,

lui que vous avez crucifié mais que Dieu a ressuscité d’entre les morts, c’est par lui que cet homme se trouve là, devant vous, bien portant. Ce Jésus est la pierre méprisée de vous, les bâtisseurs, mais devenue la pierre d’angle. En nul autre que lui, il n’y a de salut,

car, sous le ciel, aucun autre nom n’est donné aux hommes, qui puisse nous sauver. »


PSAUME 117




DEUXIÈME LECTURE

Lecture de la première lettre de saint Jean










Bien-aimés,

Voyez quel grand amour nous a donné le Père pour que nous soyons appelés enfants de Dieu et nous le sommes. Voici pourquoi le monde ne nous connaît pas : c’est qu’il n’a pas connu Dieu. Bien-aimés,

dès maintenant, nous sommes enfants de Dieu, mais ce que nous serons n’a pas encore été manifesté.

Nous le savons : quand cela sera manifesté, nous lui serons semblables car nous le verrons tel qu’il est.


ÉVANGILE

Évangile de Jésus Christ selon saint Luc

En ce temps-là,

Jésus déclara :

« Moi, je suis le bon pasteur, le vrai berger, qui donne sa vie pour ses brebis. Le berger mercenaire n’est pas le pasteur, les brebis ne sont pas à lui :

s’il voit venir le loup, il abandonne les brebis et s’enfuit ; le loup s’en empare et les disperse.

Ce berger n’est qu’un mercenaire, et les brebis ne comptent pas vraiment pour lui. Moi, je suis le bon pasteur ; je connais mes brebis, et mes brebis me connaissent, comme le Père me connaît, et que je connais le Père ; et je donne ma vie pour mes brebis. J’ai encore d’autres brebis, qui ne sont pas de cet enclos :

celles-là aussi, il faut que je les conduise.

Elles écouteront ma voix : il y aura un seul troupeau et un seul pasteur. Voici pourquoi le Père m’aime :

parce que je donne ma vie, pour la recevoir de nouveau. Nul ne peut me l’enlever : je la donne de moi-même.

J’ai le pouvoir de la donner, j’ai aussi le pouvoir de la recevoir de nouveau : voilà le commandement que j’ai reçu de mon Père. »


Partage sur la Parole Christophe Emo, diacre




















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